Jean Berthon, président de la fédération des associations indépendantes de défense des épargnants pour la retraite (FAIDER) :
On rapporte le capital au nombre d'années restant statistiquement à vivre pour fixer le montant des arrérages annuels, augmenté éventuellement d'un taux d'intérêt. Aujourd'hui, le taux d'intérêt de la rente est nul.