a fait observer que, si 80 % des élèves en section littéraire étaient des filles, 70 % des étudiants en médecine étaient également de sexe féminin. Il a plaidé pour un renforcement de l'enseignement scientifique au sein des classes littéraires du lycée, soulignant à cet égard que les futurs médecins pourraient de plus en plus être titulaires d'un baccalauréat littéraire, garantie d'un certain humanisme indispensable, du reste, à l'exercice de la médecine.