a précisé que les études post-AMM ont pour vocation d'étudier en vie réelle les populations auxquelles s'adresse un médicament. Le recours à ce genre d'étude se systématise depuis cinq ans.
Il a souligné la propension des médecins à élargir la prescription d'un médicament au-delà des recommandations de l'AMM. Cette pratique se traduit par une prescription à une population plus large que la population initialement visée par le médicament concerné et non pas par une prescription dans le cadre de pathologies connexes.