s'est élevée contre une contradiction supposée entre politique de la ville et politique des banlieues en insistant sur les convergences des actions menées en direction des quartiers et des autres territoires. Elle s'est déclarée en faveur d'une réconciliation entre les espaces et les populations, affirmant que cette politique permettrait de faire tomber les ghettos.
Elle a affirmé que le plan « Espoir pour les banlieues » ne conduirait pas à l'abandon des politiques antérieures, mais constituait une nouvelle étape de la réflexion en la matière.