se qualifiant elle-même de « produit » de la politique de la ville, a observé que les mesures spécifiques en faveur des banlieues étaient nécessaires et destinées à des populations qui cumulent toutes les difficultés. Les projets des quartiers constituent la déclinaison d'un projet national visant à rétablir plus d'égalité et les émeutes de 2005 sont la preuve d'un dysfonctionnement réel. Il faut parvenir à une meilleure traçabilité des crédits affectés à ces actions.