a marqué tout l'intérêt du groupe Safran pour l'accueil de jeunes en stage, ainsi que pour le financement de bourses de recherche, prenant l'exemple du partenariat établi dans le domaine des matériaux composites à Bordeaux. Il a toutefois estimé que la France connaissait un problème majeur d'orientation des étudiants vers les filières où ils ont les meilleures chances de trouver un emploi.
En conclusion, il a rappelé que si le groupe s'était redressé et poursuivait son développement sans avoir fait appel à des apports de capital de l'Etat, les aides de ce dernier étaient extrêmement utiles à Safran, en particulier s'agissant des avances remboursables pour le développement des programmes aéronautiques. Il a tenu à faire valoir aux sénateurs de la commission que l'argent public investi dans ce secteur était particulièrement bien utilisé au service de l'économie nationale et de sa compétitivité dans un domaine d'excellence française.