Revenant sur le sujet de l'euthanasie active, Mme Isabelle Debré a estimé qu'il ne faut pas réagir à chaud sur des faits précis dans un domaine tel que celui de la fin de vie. Elle a dénoncé l'absence totale d'unité de soins palliatifs sur un certain nombre de points du territoire français et les grandes inégalités régionales en la matière.