a estimé que les entreprises qui procédaient au retrait d'amiante avec maîtrise d'ouvrage contrôlaient le risque, en raison de la présence de nombreux intervenants bien formés et des dispositifs de sécurité. Il a rappelé que le nombre des chantiers de désamiantage douteux avait fortement diminué et que des entreprises s'étaient vu retirer leur certification. Il a expliqué que le principal risque apparaissait face à des matériaux dont la consistance est difficilement appréciée, ou lors de manipulations d'amiante-ciment qui ont pour résultat de libérer des fibres. Il a précisé qu'il avait aujourd'hui beaucoup moins de contacts avec l'inspection du travail en raison du moindre investissement de son entreprise dans les opérations de désamiantage. Il a toutefois indiqué que l'inspection du travail intervenait au début des travaux, après l'établissement du rapport de repérage avant travaux.