a précisé que la bourse de Montréal, qui utilisait certains des outils informatiques d'Euronext, était bien gérée et s'était spécialisée dans les produits dérivés à la suite de la concentration de la cotation des actions sur la place de Toronto. Il a jugé que les actionnaires nationaux d'Euronext étaient plus sensibles à la structure fédérale et à l'enracinement national de cette société, alors que d'autres investisseurs, parmi lesquels les fonds spéculatifs, étaient davantage motivés par le rendement financier à court terme, sans se préoccuper réellement de la cohérence de l'organisation.