L'argument n'est pas de nature à m'émouvoir : chacun sait l'acharnement que j'ai mis à défendre la position de M. Philippe Marini ! Le Bureau du Sénat a pris une décision. Il eût été préférable de réfléchir avant, d'autant que nous sommes instruits par l'expérience de l'Assemblée nationale. Je ne partage pas les attendus de Daniel Dubois : la partition de cette commission ne menace pas l'économie nationale. En revanche, le risque est de marginaliser la question de l'environnement. Comment la traiter sans parler du problème tout à fait central des énergies ou encore des transports ? Cela dit, nous devons adopter le même périmètre qu'à l'Assemblée nationale pour des raisons évidentes de fonctionnalité entre les deux chambres...