Rappelant que le « Grenelle de l'environnement » et les deux textes législatifs en découlant encourageaient le développement de modes de transport dits « propres », et notamment le recours aux batteries électriques et à la pile à combustible, M. Michel Teston s'est inquiété de l'avance que pourraient prendre en ce domaine des pays concurrents et s'est interrogé sur la capacité du CEA, aidé en cela par le « grand emprunt », à prévenir ce risque.