tout en reconnaissant l'existence de ces problèmes, a rappelé que le traitement de ces patients est une nécessité de santé publique. Il est donc exclu de renoncer à les traiter même s'ils manquent leurs rendez-vous, ce qui arrive en effet plus fréquemment aux personnes en difficulté. En cette matière, il est difficile de concilier un système de soins très individualisé, s'appuyant peu sur le travail en réseau des médecins et comportant peu de centres de santé, avec le nécessaire accompagnement des patients pauvres ou exclus.