Le taux actuel de centralisation est de 65 %, si l'on inclut le livret postal. Mon décret prévoit que, si d'aventure il y avait une décollecte ou si le livret ne restait pas centralisé dans les mêmes proportions auprès de la Caisse, les banques devraient compenser à l'euro près ce qui serait retiré par La Poste. Mécaniquement, on atteindrait donc 65 %.