a souligné le caractère déterminant des établissements scolaires français à l'étranger pour favoriser l'expatriation des Français. Or, le financement de ces établissements est problématique et des difficultés d'investissement se multiplient, alors qu'ils accueillent 1.000 élèves supplémentaires par an. Il a estimé que si le fonctionnement des alliances françaises et des établissements scolaires français était très satisfaisant, les centres culturels souffraient, quant à eux, d'un manque de clarté dans leurs objectifs. Il a par ailleurs estimé que les missions économiques françaises, placées auprès des ambassades, étaient mieux adaptées pour le soutien aux grosses entreprises et que, pour aider utilement les PME, l'action des chambres de commerce françaises à l'étranger était certainement mieux adaptée.