a souligné que la présence à l'étranger de deux grands ministères concurrents, le ministère des finances et celui des affaires étrangères, restait problématique pour la cohérence de l'action extérieure de l'Etat. Il a également souhaité recueillir l'appréciation de M. Gaymard sur la coopération décentralisée, qui peut être un outil précieux de la présence et de l'influence françaises. Il s'est enfin interrogé sur la pertinence de la notion de zone de solidarité prioritaire à l'égard des pays émergents.