Le Défenseur des enfants est une institution encore jeune, qui n'a pas atteint un rythme de croisière à la hauteur de ses ambitions. 55 correspondants territoriaux, c'est décidément trop peu. Alors, pour quelle solution opter ? Maintenir le statu quo tout en développant le dispositif ? En faire une des missions du Défenseur des droits, mais dans ce cas comment préserver sa spécificité ? Ou alors envisager sa disparition totale, quitte à ce que des associations prennent le relais ? Ma question est la suivante : comment comptez-vous utiliser les moyens de votre statut actuel pour être plus performant ?