a indiqué qu'elle avait été contactée par plusieurs personnes, profondément choquées par la violence des parole de la chanson incriminée, et s'est réjouie de pouvoir les informer que, comme venait de l'indiquer la présidente, les associations de défense des droits des femmes pouvaient se porter partie civile et saisir la justice. Elle a précisé que la chanson en question ne constituait pas un dérapage isolé dans le répertoire du rappeur, comme le montraient les paroles d'une autre chanson : « la Saint-Valentin ».