a également attiré l'attention sur l'empilement actuel des organismes de contrôle et l'articulation du rôle du Contrôleur général avec celui des organismes existants. Il s'est interrogé également sur la portée qu'il convenait de donner à la notion de « personnes morales s'étant donné pour objet le respect des droits fondamentaux ». Il a également souhaité que les visites inopinées ne soient prévues qu'à titre exceptionnel. Il a estimé que le Contrôleur général devait pouvoir être en mesure de demander de faire cesser une situation inacceptable et jugé indispensable qu'il dispose des moyens nécessaires à son action.