En réponse aux intervenants, M. Bruno Retailleau, président, a indiqué que :
- les commissions des sites ont une marge d'interprétation assez large ;
- il conviendra de ne pas élargir excessivement le champ d'investigation de la mission ;
- l'absence de culture du risque constitue une vraie difficulté, une part importante des populations concernées n'habitant sur le littoral que depuis peu de temps ;
- les côtes du Marais poitevin, où la poldérisation était motivée historiquement par une volonté de gagner des terres sur la mer, ont été très sévèrement touchées ;
- la mission ne devra pas hésiter à affirmer ses positions sur un sujet aussi sensible ; le Gouvernement est pour sa part jusqu'à présent très impliqué dans ce dossier.