a refusé la reconnaissance d'une filiation fictive d'un enfant envers deux personnes homosexuelles et préféré la vacance d'une branche de la filiation, en estimant que le compagnon du parent pouvait toutefois avoir une fonction de co-éducateur.
Par ailleurs, il a déploré le manque de rigueur scientifique des études concernant le devenir d'enfants élevés par des couples homosexuels, en soulignant notamment qu'étaient interrogés les parents et non les enfants, et que les comparaisons étaient faites par rapport à des enfants élevés par des femmes célibataires, et non des couples hétérosexuels.
a ensuite indiqué que de nombreuses études reconnues mettaient en avant les difficultés des enfants ayant manqué de référent féminin ou masculin. Il a ainsi précisé que M. Stéphane Nadaud, pourtant favorable à l'homoparentalité, indiquait que 41 % des enfants interrogés étaient suivis psychologiquement, tout en précisant que la compétence éducative des personnes homosexuelles n'était pas en cause.