a toutefois souligné que ce droit n'était pas réservataire et qu'il était donc possible d'en priver par testament son conjoint. Elle a estimé que si la liberté du futur défunt devait être respectée dans ce cas, elle devait aussi lui permettre de faire bénéficier son conjoint, le cas échéant, de la totalité de l'usufruit, soutenue en ce sens par M. Benoît Renaud. Elle a à cet égard déploré la diabolisation du deuxième conjoint.