a tout d'abord souligné le rôle décisif du président Sarkozy dans la cessation des hostilités, alors que le maintien du président Saakashvili à la tête de l'Etat géorgien paraissait menacé. Il a indiqué que l'action de ce dernier avant et pendant le conflit était certainement critiquée dans son pays, tout comme son mode d'exercice du pouvoir, mais que la pression militaire russe renforçait également l'unité nationale autour des dirigeants géorgiens.