s'est ensuite inscrit en faux contre l'argument du rapporteur selon lequel le principe de précaution poussé à l'extrême pouvait générer un blocage du dynamisme économique, puis a estimé que deux attitudes de dirigeants d'entreprises pouvaient aujourd'hui être identifiées : celle d'entreprises comme Suez environnement ou Saint-Gobain, qui acceptent les règles et qui s'adaptent en conséquence, et celle de dirigeants plus réticents à l'application de règles, notamment environnementales. Il a considéré qu'il n'était pas possible d'opposer schématiquement l'économie et l'environnement, ces deux sphères étant liées de façon complexe. Il a enfin souhaité que le rapport de la commission ainsi que les amendements déposés sur le projet de loi soient le plus rapidement possible mis à la disposition des commissaires.