Le débat soulevé par Didier Guillaume m'inquiète car, si le déficit d'information laisse la place à l'obscurantisme, la vulgarisation médicale sur internet fabrique des apprentis-médecins. Qui plus est, la douleur est relative. Avec un cancer en phase terminale, une personne appuiera sur la pompe à morphine dix fois par jour quand une autre n'y recourra que deux fois. Il faudrait déterminer un seuil. Peut-être un deuxième rapport...