Après avoir remercié le secrétaire général pour son remarquable exposé centré sur la question des pratiques linguistiques, Mme Maryvonne Blondin s'est réjouie de l'introduction de l'exigence de maîtrise d'une troisième langue pour les fonctionnaires communautaires comme critère de promotion interne, même si elle s'est étonnée que cette obligation ait été inscrite aussi tardivement dans le statut de la fonction publique européenne. Elle s'est interrogée, en outre, sur la manière de répondre au mieux à la pression qui naîtra, dans les prochaines années, des départs à la retraite des interprètes les plus expérimentés du SCIC.