s'est élevé contre les propos tenus par le docteur Maurice Berger contre le législateur de la loi du 4 mars 2002. Il va de soi que jamais une législation n'a été adoptée dans l'objectif de créer des troubles chez les enfants : la loi donne seulement la possibilité aux magistrats de décider d'une résidence alternée dans l'intérêt de l'enfant, tout comme les lois autorisant l'interruption volontaire de grossesse et le divorce n'ont fait qu'organiser des procédures, sans rendre bien sûr obligatoire le fait d'y recourir. Il a considéré que les troubles psychiatriques observés chez les enfants en résidence alternée sont plutôt le fait d'une mauvaise application de la loi par les magistrats et les experts qui sont censés les aider dans leur prise de décision.