Maurice Berger, psychanalyste, chef du service « Psychiatrie de l'enfant » au CHU de Saint-Etienne :
a reconnu que sa formule avait été maladroite. Néanmoins, il a maintenu que le législateur de 2002 n'avait pas suffisamment sollicité l'avis des pédopsychiatres avant d'adopter le texte.