a fait valoir que le gouvernement et les parlementaires de l'époque s'étaient certainement entourés de l'avis des experts dans le cadre de leur réflexion préparatoire. Il a estimé que la meilleure preuve de la mauvaise application de la législation par certains magistrats réside dans l'existence de différences considérables d'un tribunal à l'autre en matière de décisions de résidence alternée.