La DATAR devrait à nouveau jouer le rôle de chef de file de la politique d'aménagement du territoire : on en est loin. S'agissant de la fracture numérique, je rappelle que, lors de l'examen de la proposition de loi qui lui était consacrée, nous avons fait des propositions, malheureusement rejetées, tendant à permettre l'orientation vers l'équipement des zones rurales d'une partie des bénéfices réalisés en zones denses par les opérateurs. Enfin, les instituteurs sont nommés, même si c'est parfois difficile, dans les endroits où le besoin s'en fait ressentir : pourquoi ne pourrait-on pas faire de même avec les médecins, qui ont également été formés grâce à l'argent public ?