a exprimé des réserves à l'égard d'une éventuelle participation des collectivités territoriales au financement de l'assurance récolte, observant qu'elle ne serait pas comprise par l'opinion et pourrait donc mettre les agriculteurs dans une situation peu confortable.
Il s'est demandé s'il n'y aurait pas un risque que les exploitations en difficulté ne s'assurent pas, ce qui pourrait conduire, en cas de sinistre, à leur disparition.
Approuvant les propos tenus par M. Jean-Paul Emorine, président, il a enfin souligné, pour le regretter, que la politique communautaire n'allait guère dans le sens du soutien à la production nationale.