a jugé qu'il serait possible, dans cette optique, de mobiliser le second pilier de la PAC. Il a néanmoins estimé que la préparation de produits spécifiques pour l'élaboration de plats cuisinés, certes source de valeur ajoutée, était à la fois complexe et onéreuse, en raison des investissements et des coûts de transports qu'elle requérait.