a jugé crucial le problème de la valorisation de la recherche pour la France et pour l'Europe. Il a estimé correctes les analyses du rapport, qui ne s'emploient pas à « attaquer » la recherche publique, mais à identifier les raisons des insuffisances de la valorisation de notre recherche par rapport aux pays étrangers. Après avoir évoqué le problème de la gouvernance des établissements, il a mentionné une récente loi allemande qui donne beaucoup plus d'autonomie et une responsabilité de chef d'entreprise aux présidents d'universités. Il a cité l'exemple d'un partenariat entre l'université technologique de Munich et Singapour, ainsi que le dynamisme des laboratoires israéliens.
Après s'être félicité du débat que permet la parution du rapport, il a regretté toutefois que ce dernier n'évoque ni la question de l'appui aux petites et moyennes entreprises innovantes, ni les comparaisons internationales.