s'est interrogé sur les délais évoqués (de trois à dix ans) pour faire aboutir les PMII. Il a demandé si les projets étaient assez nombreux et si l'esprit d'initiative et l'ambition à l'égard du développement des nouvelles technologies étaient suffisants en France. Evoquant ensuite les pôles de recherche et d'enseignement supérieur (PRES), il a rappelé que leur lancement avait mobilisé de nombreux acteurs sur le territoire, mais il a regretté l'intervention réductrice des représentants de l'Etat, au cours de la première phase. Il s'est interrogé sur la capacité des acteurs et des PRES à proposer à l'AII des projets susceptibles d'être retenus.