a rappelé que le secteur réservé représentait près de 30 % du chiffre d'affaires de La Poste, le reste ayant déjà été ouvert à la concurrence, et a donc plaidé pour maintenir ce ratio, qu'il a jugé équilibré. Il a par ailleurs fait observer que des épreuves de force avec la Commission européenne avaient déjà permis d'aboutir au retrait ou à la modification profonde de certaines propositions de directives, comme l'illustrait l'exemple récent de la directive dite « Bolkestein ».