Tout en prenant acte des propos de l'intervenant sur l'existence d'une autorégulation de la part des publicitaires, Mme Gisèle Printz a néanmoins rappelé, qu'à la base, la publicité avait été avant tout créée pour vendre et qu'elle diffusait encore trop souvent une image de femme-objet, traitée comme une marchandise. Elle a ensuite relevé des exemples récents de publicités représentant la femme au foyer comme une « Bécassine ».