Observant que ces concentrations industrielles faisaient l'objet d'une attention particulière des adhérents de l'UFE, concernés au premier rang (GDF, Suez, Endesa), M. Pierre Bart, président de l'UFE, a estimé que ces regroupements autorisaient la constitution d'entreprises disposant de la taille critique leur permettant de supporter les milliards d'euros d'investissements nécessaires dans les années à venir, dans un secteur où le retour sur investissement est plutôt long. Il a cependant jugé que la prudence s'imposait pour garantir le respect de la concurrence au niveau local, les « sous-marchés » actuels n'étant pas totalement intégrés dans un réel marché communautaire de l'électricité.