Après avoir ainsi estimé qu'Exeltium constituait une réponse adaptée et formé le voeu que cette démarche puisse aboutir, il a ensuite précisé que certains industriels, tels Alkan au Royaume-Uni, avaient étudié la possibilité de s'adosser à d'autres moyens de production, notamment thermiques, mais que la création du marché des émissions de GES avait rendu cette solution encore moins compétitive. Il a enfin précisé que si la diminution de 15 % de la consommation d'électricité en 2005 et 2006 était en très grande partie liée à la modification des processus industriels d'Eurodif, d'autres facteurs expliquaient également cette évolution, M. Jean-Philippe Benard ajoutant que la baisse de la consommation ayant libéré des capacités de production en base, elle aurait dû se traduire par une diminution des prix, qui n'avait cependant pas eu lieu.