a fait part de sa perplexité quant aux analyses développées par les représentants de l'UNIDEN sur le fonctionnement du marché de gros, observant que les industriels avaient cru, au début du processus d'ouverture à la concurrence des marchés de l'énergie, qu'une telle évolution leur serait profitable. Il s'est alors interrogé sur les raisons qui avaient poussé les industriels à délaisser le tarif réglementé pour s'approvisionner sur le marché libre, et a jugé curieux le fait de se déclarer favorable au libéralisme uniquement dans les cas où l'on y trouve un avantage économique immédiat. Il a également demandé des précisions sur la notion de « sur-rémunération » du parc existant évoquée par l'UNIDEN et si les difficultés de la France à satisfaire la demande en période de pointe étaient plus importantes que celles éprouvées par d'autres pays européens.