a estimé que certains aspects de l'économie française étaient sources d'inquiétude : la diminution des exportations, résultant d'un mauvais positionnement, tant sur le plan géographique que sur celui des gammes de produits, la faiblesse des intentions d'investissement des entreprises, la faible confiance des ménages, résultant du modique nombre de créations d'emplois (environ 100.000 par an, contre 500.000 autour de l'an 2000), résultant selon lui, en partie, des effets retardés de la réduction du temps de travail menée par la précédente législature. Il a considéré, contrairement à M. Marc Touati, que le marché immobilier resterait porteur en France en 2007. Il a souligné à cet égard qu'en France, une partie des ménages, comme les jeunes, n'avait pas accès au crédit, ce qui constituait une différence importante par rapport aux Etats-Unis, en particulier dans le cas du financement des études.