a souligné que le marché immobilier était très sensible aux taux d'intérêt, et qu'il ne devrait pas non plus se produire de krach l'année prochaine, aucune augmentation de ceux-ci n'étant prévue en 2007. Il a considéré que pour augmenter durablement le pouvoir d'achat, la France devait déréguler davantage son économie, en particulier en ce qui concernait le marché des biens et le marché du travail. Il a, par ailleurs, jugé que le problème en France n'était pas tant le niveau du pouvoir d'achat que son partage, l'un des enjeux étant en particulier de permettre aux salariés de mieux bénéficier des revenus du capital.