a tout d'abord rappelé son scepticisme à l'égard du strict respect de la loi de programmation militaire et de la réalisation selon les échéanciers prévus des programmes d'équipement. Citant les appréciations récemment portées par le chef d'état-major de l'armée de terre sur le rythme d'engagement en opérations extérieures, il a souhaité savoir si les armées atteignaient actuellement les limites de leurs capacités et s'il en résultait des incidences sur le moral des personnels. Il a également demandé des précisions sur les mesures d'étalement ou de décalage prises sur certains programmes, comme l'hélicoptère de transport NH 90, et sur les raisons pour lesquelles le montant des autorisations d'engagement serait inférieur, en 2007, à celui des crédits de paiement.