a considéré qu'aucune solution politique ne pourrait provenir des deux seules parties au conflit israélo-palestinien et qu'il était indispensable de faire cesser, devant l'urgence, la situation dramatique qui prévaut dans les territoires palestiniens et, en particulier, à Gaza. Elle a estimé que la France pouvait agir au moins dans ce domaine, considérant que les affrontements inter palestiniens étaient le fruit d'une situation quotidienne insupportable pour les populations.