a estimé qu'en Côte d'Ivoire, l'urgence était d'éviter la confrontation, et qu'une attitude de sagesse s'imposait à chacun des protagonistes. La priorité était à la constitution des listes électorales et au processus d'identification. En tout état de cause, l'idée d'un retrait des forces françaises dans la situation actuelle était absurde. Il s'est ensuite inquiété de la situation politique au Sénégal, s'interrogeant sur les intentions réelles du Président Wade à quelques mois des prochaines élections.