a reconnu que le fort mouvement de population entre la France et l'Algérie était un atout et constituait un lien unique entre ces deux pays. Pour autant, il s'est demandé si les propos virulents du président algérien sur le passé de la France en Algérie ne posaient pas aussi des problèmes aux Français d'origine algérienne eux-mêmes. A défaut de la conclusion d'un traité d'amitié, il s'est demandé quel pourrait être l'acte politique qui permettrait de dépasser les relations actuelles entre les deux pays et de véritablement tourner la page du passé.