a conclu en rappelant que si la gestion des crises doit parfois être militaire, le règlement des crises, lui, ne l'était jamais. L'enjeu de la « bonne gouvernance » reste crucial, qui suppose l'intérêt de tous à la compétition électorale, afin de décourager la tentation de la conquête du pouvoir par des voies autres que pacifiques.
Un débat a suivi l'exposé du rapporteur.