a insisté sur la rapidité et la brutalité du changement climatique. Il a noté que chaque mise à jour des prévisions faisait apparaître une nouvelle accélération de ce changement, de surcroît sans doute sous-estimée, car les modèles utilisés ne tiennent compte ni des effets du réchauffement des océans sur leur capacité à absorber le CO2 ni du rythme réel de la croissance de l'Inde ou de la Chine.