a souligné qu'en raison de la prudence naturelle des scientifiques on pouvait également craindre une sous-estimation des risques liés aux changements climatiques, rappelant qu'une hausse supérieure à 2° de la moyenne des températures pouvait entraîner un « emballement climatique » mettant à mal tous les systèmes de régulation des équilibres climatiques de la planète.