Abordant ensuite l'examen des propositions concrètes formulées par le rapport de l'OPECST, M. Claude Saunier a indiqué que certaines pouvaient paraître difficiles à assumer ou très coûteuses dans un premier temps, mais il a fait valoir que le combat pour une nouvelle planète pouvait aussi représenter une « nouvelle frontière » génératrice de développement de l'activité économique et de l'emploi.
Il a en premier lieu souligné qu'il fallait améliorer la connaissance du changement climatique, en particulier en augmentant les moyens dont disposent les scientifiques et en favorisant leur accès gratuit à toutes les données qui leur sont nécessaires.