a mentionné les incidences dramatiques qu'aurait le réchauffement climatique sur la ressource en eau.
S'appuyant sur l'expérience de sa commune, qui a mis en oeuvre une politique de rachat des habitations situées en zones inondables, elle a souligné le poids financier des politiques tendant à intervenir sur le parc bâti existant et elle a relevé par ailleurs la nécessité, pour faire évoluer les techniques de construction, d'informer les professionnels sur les procédés et les matériaux nouveaux auxquels ils peuvent recourir.
Elle s'est enfin demandé s'il ne conviendrait pas, dans le cadre d'une « guerre totale » au gaspillage énergétique, de retirer du marché des biens ou produits qui vont à l'encontre de cette priorité, citant à cet égard l'exemple des « 4x4 ».