a insisté sur l'importance d'une prise de conscience collective des problèmes de développement durable et s'est interrogé sur la définition possible d'un « droit d'ingérence » en matière d'environnement. Déclarant partager les positions prises par les rapporteurs, il est convenu de la nécessité d'inventer une « fiscalité innovante » et il a jugé que cette nécessité pouvait être comprise par l'opinion, bien que les mesures fiscales ne soient jamais très populaires.
Il s'est prononcé en faveur d'un renforcement de l'actuel Programme des Nations unies pour l'environnement, souhaitant sa transformation en une Organisation des Nations unies pour l'environnement, et il a estimé qu'il faudrait pouvoir restreindre la libre circulation des produits originaires des pays ne respectant pas les règles de la protection de l'environnement.